"La liberté est une peau de chagrin qui rétrécit au lavage de cerveau." A l'heure d'une véritable dictature médiatique de la pensée unique qui empoisonne le débat public, jugeant l'histoire avec anachronisme et ne tolérant aucune opposition, cette citation de Henri Jeanson a conservé toute son actualité. De nos jours, le paysage audiovisuel est totalement verrouillée par une élite urbaine, relativiste et politiquement correcte qui se pavane avec satisfaction. Le paradoxe est que beaucoup des représentants de cette élite, chanteurs, actrices, essayistes, porte-parole ou avocats des communautés juive, noire ou musulmane, militants gays radicaux, philosophes autoproclamés etc. se piquent de "résistance" contre les "préjugés" et la "pensée unique"... Alors qu'ils en sont les créatures parfaites ! Leur refrain est connu, et tant à devenir parole d'évangile dans une société affamée de spectacle et de bons sentiments: le racisme est partout, l'antisémitisme est à nos portes, les religions (surtout la religion catholique) ne sont que des opinions parmi d'autres et elles sont la cause de toutes les guerres dans le monde, la France est un pays crade et xénophobe, l'Union européenne est un paradis où l'homme découvre sa véritable nature, ceux qui votent "non" à la Constitution européenne et "oui" à l'interdiction des minarets sont des monstres incultes et irresponsables, la délinquance n'existe pas dans notre pays de l'idéal républicain, il faut se porter au secours de toutes les peuplades opprimées aux quatre coins de la Terre et le social va sauver le monde.
Face à cette avalanche débridée, le journaliste et écrivain Éric Zemmour était une voix différente qui apportait un peu d'oxygène bienvenu: féru d'histoire et passionné par Napoléon, cet ancien élève de Sciences Po reçu au concours d'entrée sans la discrimination positive réservée aux jeunes de banlieues en vigueur de nos jours, fils d'immigrés israélites maghrébins, se faisait depuis plusieurs années le porte-parole d'une "télévision intelligente" alliée à une vaste culture. Réactionnaire, mais pas conservateur, car cet adjectif colle mieux selon lui à une gauche recroquevillée sur ses acquis sociaux, de droite bon teint mais pas libéral, Zemmour rentrait systématiquement en conflit avec les bobos horrifiés sur des sujets très divers. Son agressivité faisait merveille sur le plateau de On n'est pas couché le samedi soir, aux côtés de l'amoureux de la littérature Eric Naulleau ; il fallait le voir donner au bobocrate ex-maoïste Gérard Miller, qui souhaitait une bonne année aux téléspectateurs juifs, une leçon de laïcité ! Mais Zemmour finit par inquiéter. Sa suffisance agace. Sa chronique sur RTL où il massacre le dogme de l'avortement sans douleur et libérateur de la femme dérange. Les inquisiteurs de la pensée unique traquent la moindre phrase et la trouvent: "la plupart des trafiquants sont noirs et arabes... C'est un fait". Dès lors, le tocsin sonne contre l'hérétique. La saillie de Zemmour est frappée du sceau de l'infamie. Aussitôt, la machine à polémique, orchestrée par la Ligue internationale contre la racisme et l'antisémitisme (LICRA), s'emballe et le 23 mars, le patron du quotidien Le Figaro Étienne Mougeotte la convocation du journaliste pour un entretien préalable à un licenciement.
Au même moment, l'humoriste Stéphane Guillon, chroniqueur quotidien à France Inter, se moque du ministre de l'identité nationale Éric Besson, le caricaturant en fasciste rêvant d'une "France pure et blanche". L'intéressé, avec sa susceptibilité coutumière, n'apprécie pas ce qu'il considère comme une insulte personnelle et s'en prend vivement à la direction de la radio, qui présente ses plates excuses au ministre. Branle-bas de combat dans la presse: l'ingérence d'un membre du gouvernement dépasse les bornes, la censure, à les entendre, n'est pas loin. Et tandis que les journaux volent au secours de Guillon, la nouvelle du licenciement de Zemmour provoque un tollé dans la blogosphère. Les groupes de soutien au journaliste sur Facebook oscillent entre 2000 et 5000 membres, et des milliers de messages de protestations ont été envoyé à la rédaction du Figaro. Une manifestation est même organisée jeudi 25 mars au cri de "On veut plus de Zemmour" devant le siège du journal et rassemble plus de 250 personnes, des jeunes pour la plupart. En une semaine, on se redécouvre une passion pour la liberté d'expression. Alors, Zemmour-Guillon, même combat ?
Il existe pourtant une différence notable entre Eric Zemmour et Stéphane Guillon. Ce dernier est en effet le chouchou des bobos. Ses chroniques "humoristiques" ne sont qu'un ricanement perpétuel dirigé contre des cibles faciles et consensuelles : les ministres, "racistes", les prêtres, tous "pédophiles", le pape, "satanique" etc. Il a lui-même avoué lors d'un récent spectacle qu'il valait mieux critiquer les chrétiens que les musulmans, car on n'y risquait rien ; un discours que ne désavouerai pas le président de France Inter, Philippe Val, qui se mord encore les doigts d'avoir fait publier des caricatures de Mahomet à l'époque où il était à Charlie Hebdo: ses lecteurs, qui vomissent pourtant sur les curés et les nonnes au quotidien, n'avaient comme par hasard pas trouvé cela drôle et le recteur de la mosquée de Paris, l'homme des Lumières Dalil Boubakeur, avait engagé un procès retentissant contre le journal. Guillon ne prend aucun risque. Lorsqu'il compare Eric Besson à un petit nazi, il ne fait que répéter le discours officiel du politiquement correct et le fait sans finesse... et sans humour. L'irritation du ministre est une histoire personnelle entre lui et le chroniqueur, qui l'humilie régulièrement en fustigeant sa vie privée, que le méditerranéen au sang chaud Besson croit devoir défendre coup sur coup.
L'affaire Zemmour est plus sérieuse. On veut faire taire une personnalité qui semble gêner réellement ; c'est du maccarthysme dans les règles. Les supporters du journaliste se mobilisent rapidement, aidés par des poids lourds: sur son blog, l'avocat général à la cour d'appel de Paris Philippe Bilger prend la défense d'Éric Zemmour au sujet de son affirmation sur les trafiquants:
Il est assez désolant de voir que quelques mots maladroits sur l'immigration peuvent remplir les pages des journaux et donner à des milliers de citoyens une raison de vivre alors que des chrétiens meurent au Kosovo et que la presse n'en pipe mot. On peut cependant se consoler de voir que les Français sont attachés à la liberté de ton, même si ce n'est pas pour les mêmes raisons. Quant au Figaro, surnommé le "Daily Sarkozy" pour la proximité de sa direction avec l'Elysée et le parti-pris du journal avec la ligne du pouvoir, cette affaire est catastrophique pour sa crédibilité.
Le lendemain de l'annonce du licenciement de Zemmour, le 24 mars, entraient en vigueur au Royaume-Uni les Hate crime laws, une nouvelle législation qui vient compléter le Criminal Justice and Immigration Act voté en 2008 par la Chambre des Communes. Ces nouvelles lois visent en particulier à sanctionner les propos et actes homophobes, et ce, au détriment de la liberté d'expression. La première victime vient de tomber : le Révérend Frank Wainwright, de St Gregory's church à Cheltenhamdans, dans le Gloucestershire (à vos souhaits). En célébrant un mariage, il avait rappelé par un calembour que, selon la Bible, le mariage chrétien était entre Adam et Ève, et pas entre "Adam et Steve". Il a dû faire ses excuses afin d'éviter un procès pour homophobie. La Chambre des Lords, le sage et respecté Lord Waddington en tête, avait pourtant amendé le Criminal Justice and Immigration Act en juin 2009 afin de préserver la liberté d'expression, dont les comiques et artistes qui risquent désormais des sanctions à la moindre joke. Mais comme le démontre le blog anglais conservateur Cranmer, cette mesure risque d'être sans effet réel. La Grande-Bretagne a beau être la patrie de la liberté d'expression, le politiquement correct y est extrêmement puissant. En 2005, le gouvernement britannique avait songé à proposer une loi règlementant les critiques à l'égard des religions, dans le but de protéger les minorités musulmane, hindoue, juive et sikh. Dans un pays où la caricature féroce de l'Église anglicane, le bishop bashing, est devenu un sport national, l'opinion publique ne l'avait pas supporté et le célèbre humoriste Rowan Atkinson, alias Mr Bean, avait écrit une lettre de protestation pour défendre la liberté d'expression.
"Il y a une arme plus terrible que la calomnie, c’est la vérité" disait Talleyrand. La défense de la vérité est de plus en plus dure aujourd'hui. Pourtant, rappelait Jésus dans l'Évangile du jeudi 25 mars, "la vérité vous rendra libres" (Jn 8,32).
Face à cette avalanche débridée, le journaliste et écrivain Éric Zemmour était une voix différente qui apportait un peu d'oxygène bienvenu: féru d'histoire et passionné par Napoléon, cet ancien élève de Sciences Po reçu au concours d'entrée sans la discrimination positive réservée aux jeunes de banlieues en vigueur de nos jours, fils d'immigrés israélites maghrébins, se faisait depuis plusieurs années le porte-parole d'une "télévision intelligente" alliée à une vaste culture. Réactionnaire, mais pas conservateur, car cet adjectif colle mieux selon lui à une gauche recroquevillée sur ses acquis sociaux, de droite bon teint mais pas libéral, Zemmour rentrait systématiquement en conflit avec les bobos horrifiés sur des sujets très divers. Son agressivité faisait merveille sur le plateau de On n'est pas couché le samedi soir, aux côtés de l'amoureux de la littérature Eric Naulleau ; il fallait le voir donner au bobocrate ex-maoïste Gérard Miller, qui souhaitait une bonne année aux téléspectateurs juifs, une leçon de laïcité ! Mais Zemmour finit par inquiéter. Sa suffisance agace. Sa chronique sur RTL où il massacre le dogme de l'avortement sans douleur et libérateur de la femme dérange. Les inquisiteurs de la pensée unique traquent la moindre phrase et la trouvent: "la plupart des trafiquants sont noirs et arabes... C'est un fait". Dès lors, le tocsin sonne contre l'hérétique. La saillie de Zemmour est frappée du sceau de l'infamie. Aussitôt, la machine à polémique, orchestrée par la Ligue internationale contre la racisme et l'antisémitisme (LICRA), s'emballe et le 23 mars, le patron du quotidien Le Figaro Étienne Mougeotte la convocation du journaliste pour un entretien préalable à un licenciement.
Au même moment, l'humoriste Stéphane Guillon, chroniqueur quotidien à France Inter, se moque du ministre de l'identité nationale Éric Besson, le caricaturant en fasciste rêvant d'une "France pure et blanche". L'intéressé, avec sa susceptibilité coutumière, n'apprécie pas ce qu'il considère comme une insulte personnelle et s'en prend vivement à la direction de la radio, qui présente ses plates excuses au ministre. Branle-bas de combat dans la presse: l'ingérence d'un membre du gouvernement dépasse les bornes, la censure, à les entendre, n'est pas loin. Et tandis que les journaux volent au secours de Guillon, la nouvelle du licenciement de Zemmour provoque un tollé dans la blogosphère. Les groupes de soutien au journaliste sur Facebook oscillent entre 2000 et 5000 membres, et des milliers de messages de protestations ont été envoyé à la rédaction du Figaro. Une manifestation est même organisée jeudi 25 mars au cri de "On veut plus de Zemmour" devant le siège du journal et rassemble plus de 250 personnes, des jeunes pour la plupart. En une semaine, on se redécouvre une passion pour la liberté d'expression. Alors, Zemmour-Guillon, même combat ?
Il existe pourtant une différence notable entre Eric Zemmour et Stéphane Guillon. Ce dernier est en effet le chouchou des bobos. Ses chroniques "humoristiques" ne sont qu'un ricanement perpétuel dirigé contre des cibles faciles et consensuelles : les ministres, "racistes", les prêtres, tous "pédophiles", le pape, "satanique" etc. Il a lui-même avoué lors d'un récent spectacle qu'il valait mieux critiquer les chrétiens que les musulmans, car on n'y risquait rien ; un discours que ne désavouerai pas le président de France Inter, Philippe Val, qui se mord encore les doigts d'avoir fait publier des caricatures de Mahomet à l'époque où il était à Charlie Hebdo: ses lecteurs, qui vomissent pourtant sur les curés et les nonnes au quotidien, n'avaient comme par hasard pas trouvé cela drôle et le recteur de la mosquée de Paris, l'homme des Lumières Dalil Boubakeur, avait engagé un procès retentissant contre le journal. Guillon ne prend aucun risque. Lorsqu'il compare Eric Besson à un petit nazi, il ne fait que répéter le discours officiel du politiquement correct et le fait sans finesse... et sans humour. L'irritation du ministre est une histoire personnelle entre lui et le chroniqueur, qui l'humilie régulièrement en fustigeant sa vie privée, que le méditerranéen au sang chaud Besson croit devoir défendre coup sur coup.
L'affaire Zemmour est plus sérieuse. On veut faire taire une personnalité qui semble gêner réellement ; c'est du maccarthysme dans les règles. Les supporters du journaliste se mobilisent rapidement, aidés par des poids lourds: sur son blog, l'avocat général à la cour d'appel de Paris Philippe Bilger prend la défense d'Éric Zemmour au sujet de son affirmation sur les trafiquants:
"... je propose à un citoyen de bonne foi de venir assister aux audiences correctionnelles et parfois criminelles à Paris et il ne pourra que constater la validité de ce "fait", la justesse de cette intuition qui, aujourd'hui, confirment un mouvement né il y a quelques années. Tous les noirs et tous les arabes ne sont pas des trafiquants mais beaucoup de ceux-ci sont noirs et arabes. "Le magistrat poursuit sur une mise en garde à l'adresse du polémiste, pointant ses limites, un mépris de l'interlocuteur et une certaine suffisance, avec justesse:
"Éric Zemmour est devenu "un trublion officiel", "un fou des médias" comme il y a eu des "fous du roi", avec cette conséquence subtile mais perceptible qu'un léger contentement de soi semble l'habiter. De plus en plus, il y a dans sa démarche une alliance contradictoire entre une aspiration affichée au dialogue et un ton péremptoire. La liberté de pensée qu'heureusement il s'octroie ne va plus tout à fait jusqu'à supporter celle des autres. Dorénavant il s'écoute plus qu'il n'écoute, trop facilement ravi par sa propre mécanique. "Et l'avocat de conclure brillamment sur sa vision de la liberté d'expression:
"...rien ne vaut la modestie d'une parole qui se cherche, s'invente et parfois même s'étonne."Aux dernières nouvelles, Philippe Bilger a déclaré avoir été convoqué par le Procureur général pour être sorti de sa réserve... Toutefois, la mobilisation du Web fini par payer ; preuve qu'il faudra désormais compter sur cet acteur dans le débat public. Le Figaro annule l'entretien de licenciement: Zemmour aura été sauvé par ses fans. Auparavant, il a toutefois écrit une longue lettre à la LICRA, où il tente d'expliquer ses propos en argumentant: "Il y a quelques années, une enquête commandée par le ministère de la justice, pour évaluer le nombre d’imams nécessaires, évaluait le pourcentage de "musulmans dans les prisons" entre 70 et 80%. En 2004, l’islamologue Farhad Khosrokhavar, dans un livre L’islam dans les prisons ( Balland) confirmait ce chiffre." Satisfaite du tapage médiatique, la LICRA retire sa plainte. Par contre, SOS Racisme réclame toujours des sanctions. Les organisations antiracistes sont coutumières des méthodes de voyous. L'ancêtre de la LICRA, la Ligue internationale contre l'antisémitisme, a été fondée en 1927 par le journaliste Bernard Lecache pour défendre lors de son procès Samuel Schwartzbard, un terroriste anarchiste juif manipulé par l'URSS et ancien braqueur de banques, qui avait assassiné de sang-froid à Paris Simon Petlioura, leader indépendantiste ukrainien.
Il est assez désolant de voir que quelques mots maladroits sur l'immigration peuvent remplir les pages des journaux et donner à des milliers de citoyens une raison de vivre alors que des chrétiens meurent au Kosovo et que la presse n'en pipe mot. On peut cependant se consoler de voir que les Français sont attachés à la liberté de ton, même si ce n'est pas pour les mêmes raisons. Quant au Figaro, surnommé le "Daily Sarkozy" pour la proximité de sa direction avec l'Elysée et le parti-pris du journal avec la ligne du pouvoir, cette affaire est catastrophique pour sa crédibilité.
Le lendemain de l'annonce du licenciement de Zemmour, le 24 mars, entraient en vigueur au Royaume-Uni les Hate crime laws, une nouvelle législation qui vient compléter le Criminal Justice and Immigration Act voté en 2008 par la Chambre des Communes. Ces nouvelles lois visent en particulier à sanctionner les propos et actes homophobes, et ce, au détriment de la liberté d'expression. La première victime vient de tomber : le Révérend Frank Wainwright, de St Gregory's church à Cheltenhamdans, dans le Gloucestershire (à vos souhaits). En célébrant un mariage, il avait rappelé par un calembour que, selon la Bible, le mariage chrétien était entre Adam et Ève, et pas entre "Adam et Steve". Il a dû faire ses excuses afin d'éviter un procès pour homophobie. La Chambre des Lords, le sage et respecté Lord Waddington en tête, avait pourtant amendé le Criminal Justice and Immigration Act en juin 2009 afin de préserver la liberté d'expression, dont les comiques et artistes qui risquent désormais des sanctions à la moindre joke. Mais comme le démontre le blog anglais conservateur Cranmer, cette mesure risque d'être sans effet réel. La Grande-Bretagne a beau être la patrie de la liberté d'expression, le politiquement correct y est extrêmement puissant. En 2005, le gouvernement britannique avait songé à proposer une loi règlementant les critiques à l'égard des religions, dans le but de protéger les minorités musulmane, hindoue, juive et sikh. Dans un pays où la caricature féroce de l'Église anglicane, le bishop bashing, est devenu un sport national, l'opinion publique ne l'avait pas supporté et le célèbre humoriste Rowan Atkinson, alias Mr Bean, avait écrit une lettre de protestation pour défendre la liberté d'expression.
"Il y a une arme plus terrible que la calomnie, c’est la vérité" disait Talleyrand. La défense de la vérité est de plus en plus dure aujourd'hui. Pourtant, rappelait Jésus dans l'Évangile du jeudi 25 mars, "la vérité vous rendra libres" (Jn 8,32).
Mais la liberté d'expression n'est-elle pas en train de mourir tout bonnement sur les écrans télévisuels, comme cela s'est passé dans la presse... N4est ce pas sur let web, avec des blogs comme les votres, que renait la liberté de discussions, de débats, d'interrogations, car pour le moment seule cette sphère échappe (encore) aux pressions et lobbyings ?
RépondreSupprimerJe vous invite à lire l'article sur l'url ci-dessous qui recense les évènements du mois de mars, relatifs aux attaques de la liberté d'expression sur la toile, et censure en tout genre.
http://regardsurleweb.solidairesdumonde.org/archive/2010/03/24/la-liberte-d-expression.html
m-a
Mais la liberté d'expression n'est-elle pas en train de mourir tout bonnement sur les écrans télévisuels, comme cela s'est passé dans la presse... N4est ce pas sur let web, avec des blogs comme les votres, que renait la liberté de discussions, de débats, d'interrogations, car pour le moment seule cette sphère échappe (encore) aux pressions et lobbyings ?
RépondreSupprimerJe vous invite à lire l'article sur l'url ci-dessous qui recense les évènements du mois de mars, relatifs aux attaques de la liberté d'expression sur la toile, et censure en tout genre.
http://regardsurleweb.solidairesdumonde.org/archive/2010/03/24/la-liberte-d-expression.html
m-a